L'empaquetage dans Debian, le prendre avec le sourire.
C’est vrai, je dois pas le cacher, j’ai encore mal pris la chose pour ghostwriter, le fait que j’ai reçu un refus ou du moins une demande de faire des changements alors qu’ailleurs ça serait passé simplement par une acceptation du travail.
Oui je l’ai mal pris, c’est pas la 1ère fois et ça sera pas la dernière, c’est un fait, Debian est chiant sur la rigueur de la qualité mais c’est aussi sa force, en tant qu’utilisateur c’est aussi pour ça qu’on l’aime.
En passant, une version 2.1.6 est dans openSUSE, j’ai pas encore poussé la 2.2.0 car entre temps elle n’est plus dans les releases.
En fait, il faut que je prenne ce léger retard comme pour un conseil, qui sera au terme que bénéfique pour mon paquet. C’est chiant parce-que ça demande plus de boulot qui ne devrait pas être mais d’un coté, ça sera fait et puis c’est tout.
De toute façon je n’ai pas vraiment le choix, à part passer pour de bon sur openSUSE et y rester mais chaque fois que j’ai tenté, ça n’a pas duré. Mais je me demande si il ne serait pas temps aussi d’ouvrir un dépôts, pardon, d’ouvrir mon dépôt avec mes paquets rétro-portés. J’y réfléchis de plus en plus…
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